Art

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Fresque du 1er siècle. Paquius Promulus et son épouse. Musée mythologique national. Naples.

Grand Robert de la langue française : Activité consciente et créatrice tendue vers un but et supposant une série d’actions maîtrisées.., habileté maîtrisée pour arriver à un résultat.

Habileté virtuelle et goût.

Vocabulaire technique et ceritique de la philosophie. A. Lalande ; (Esthétique) : L’Art ou les Arts désignent toute production de la beauté par les œuvres d’un être conscient. Au pluriel cette expression  s’applique surtout aux moyens d’exécution, au singulier aux caractères communs des œuvres d’art. En ce sens l’art s’oppose encore à la science

Encyclopédie de la philosophie. La Pochothèque : En grec ancien la « tekhné » désignait un certain type de savoir : le savoir faire des activités techniques ou artisanales. La tékhné des grecs, l’ars des romains, à la fois, art, artisanat et technique, consistant dans la connaissance des règles qui président à la production d’une œuvre bien faite. Cela incluait aussi bien l’art  de produire des statues, de la musique, des discours, ou de la poésie, que de produire de la santé….Le terme art, en français, connote cependant deux domaines qui depuis le XIII ème siècle tendent à se distinguer et dvenir autonomes, celui des beaux-arts, et celui de l’artisanat.

Synonyme : Adresse. Génie. Habileté. Intelligence. Maîtrise. Manière. Qualité. Savoir faire. Talent. Virtuosité.

Contraires : Maladresse.

Par analogie : Art abstrait. Art figuratif. Art moderne. Arts culinaires. Ats martiaux. Beaux arts. Bijouterie. Danse. Décoration. Don. Exposition. Galerie. Grand art. Littérature. Musée. Musique. Peinture. Poésie. Sculpture. Tapisserie. Théâtre. 7ème art.

Expressions: Dans les règles de l’art. L’art et la manière.

« Parfois cependant la vie nous apparaît comme une comédie fantôme. Comme tirés d’un rêve, nous nous regardons agir et, glacés de constater la dépense vitale que requiert la maintenance de nos réquisits primitifs, nous demandons avec ahurissement ce qu’il en est de l’art. Notre frénésie de grimaces et d’œillades nous semble soudain le comble de l’insignifiance…l’éternité nous échappe.
Ces jours-là, où chavirent sur l’autel de notre nature profonde toutes les croyances romantiques, politiques, intellectuelles, métaphysiques et morales…..
Ces jours-là vous avez désespérément besoin d’art. Vous aspirez ardemment à renouer avec votre illusion spirituelle, vous souhaitez passionnément que quelque chose vous sauve  des destins biologiques pour que toute poésie et toute grandeur ne soient pas évincés de ce monde »  (L’élégance du hérisson. Muriel Barbery)

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«  C’est un parleur étrange, et trouve toujours

L’art de rien dire avec de grands discours »

(Molière. Le misanthrope)

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« L’art et rien que l’art ! C’est lui qui nous permet de vivre », « C’est le beau mensonge qui nous permet de vivre. «  L’art nous est donné pour nous empêcher de mourir de la vérité ». (Nietzsche. La volonté de puissance. § IV)

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« Vous avez certainement admiré ces paysages chinois dans lesquels l’on aperçoit quelque part un personnage de dimension minuscule. Pour l’amateur occidental dont l’œil est habitué à regarder des œuvres où les sujets représentés au premier plan, reléguant ainsi le paysage à l’arrière plan, ce personnage est complètement perdu, noyé dans le grand tout. Ce n’est pas ainsi que l’esprit chinois appréhende la chose. Le personnage dans le paysage est toujours judicieusement situé ; il est en train de contempler le paysage, il joue de la cithare, ou de converser avec un ami. Mais au bout d’un moment si l’on s’attarde sur lui, on ne manque pas de se mettre à sa place, et l’on se rend compte qu’il est le point pivot autour duquel le paysage s’organise et tourne. Mieux, c’est lui l’œil éveillé et le cœur battant du paysage….
Cette nature n’est plus une entité inerte et passive. Si l’homme la regarde, elle le regarde aussi…. » (François Cheng. Cinq méditations sur la beauté)
Nous retrouvons là un thème philosophique, le regard différencié…

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« Donnez la marche hongroise de Berlioz à jouer au philharmonique de Berlin, et il vous en fera du Wagner » (Sociologue. Frédéric Lodéon)

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« L’art authentique est en soi une conquête de l’esprit ; il élève l’homme à la dignité du créateur, fait jaillir des ténèbres du destin un éclair d’émotion et de jouissance mémorable, une lueur de passion et de compassion que l’on peut partager. Par ses formes toujours renouvelées, il tend vers la vie ouverte en abattant les cloisons de l’habitude et en provoquant une manière neuve de percevoir et de vivre  (François Cheng. Cinq méditations sur la beauté. Page 95.Le livre de poche.2008)

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« Quand j’entends du Wagner j’ai envie d’envahir la Pologne »  (Woody Allen)

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« Ainsi seront  exclus de la Cité idéale, telle que le philosophe (Platon) la pense dans la République, peintres et poètes »  (François Cheng. Cinq méditations sur la beauté)

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« L’œuvre la plus belle n’a aucun sens pour l’homme qui meurt de faim. L’humanitéde l’homme requiert pour s’accomplir l’humanité de son cadre de vie » (Karl Marx)

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« L’idée au contraire, que l’on peut à la rigueur définir le représentant adéquat du concept est absolument concrète ; elle a beau représenter une infinité de choses particulières, elle n’en est pas du moins déterminée sur toutes ses faces ; l’individu, en tant qu’individu, ne la peut jamais connaître ; il lui faut, pour la concevoir, dépouiller toute volonté, toute individualité, et s’élever à l’état de sujet connaissant pur ; autant vaut dire qu’elle est cachée à tous, si ce n’est au génie et à celui qui, grâce à une exaltation de sa faculté  de connaissance pure( due le plus souvent aux beaux chefs d’œuvre de l’art), se trouve dans un état voisin du génie ; l’idée n’est point essentiellement communicable, elle ne l’est que relativement ; car, une fois conçue et exprimée dans l’œuvre d’art, elle ne se révèle à chacun que proportionnellement à la valeur de son esprit ; voilà les œuvres les plus excellentes de tous les arts, les monuments les plus glorieux du génie sont destinés à demeurer éternellement lettres closes pour la stupide majorité des mortels ; pour eux les chefs-d’œuvre sont impénétrables…… » (Schopenhauer. Le monde comme volonté et comme représentation. T. 1)

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« La mission de l’art n’est pas de copier la nature, mais de l’exprimer » (Balzac)

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Dans une de ses œuvre Gilles Deleuze nous dit : « L’homme ne cesse pas d’emprisonner sa vie. Il est logique  d’en conclure que l’art, ça sert à libérer la vie… ». Que nous dit donc Deleuze ?
Que notre Être, notre condition humaine  nous enferme, et que comme nous sommes bien conscients, trop conscients, que étant toujours en dessous de l’idéal que nous pourrions poursuivre, que ne sachant pas échapper à nos démons, c’est l’artiste qui réhabilite, qui crée du beau, qui met l’homme au-dessus de sa condition par l’acte de créer. Ainsi, l’art nous grandi, nous redonne confiance dans l’homme, nous redonne confiance en nous. Donc Deleuze nous dit l’art nous libère de nous-mêmes. C’est aussi ce que nous dit Nietzsche à sa manière : « L’art c’est le beau mensonge qui nous aide à supporter la vie ». Autrement dit : l’art nous libère  de nos certitudes, dont celle de notre finitude. Le philosophe a parfois de la difficulté à débattre de l’art, car ce dernier,  ne se laisse enfermer dans aucun concept ni immanent, ni transcendant, il échappe au réalisme comme à l’idéalisme.
Il peut être néanmoins un acte de liberté presque subversif. Delacroix veut rendre hommage aux insurgés de 1830.  C’est très mal reçu, il expose quand même son œuvre monumentale de « La liberté guidant le monde ». Pour la petite histoire, il va même jusqu’à coiffer la femme qui est la Liberté du bonnet des anciens esclaves affranchis
L’évolution d’une société, par la politique, s’appuie, se construit sur l’esprit d’une époque (quand  elle ne tente pas de le manipuler). Cet esprit se construit sur la culture d’une époque, et les artistes sont les artisans, les bâtisseurs de cette culture. La création artistique a besoin du champ infini de la créativité. Rarement les artistes ont été du côté du pouvoir absolu. On a souvent dit qu’il n’y avait pas dart sous les dictatures, sous les régimes autoritaires ; et cela est faux et vrai à la fois. Vrai car la création est souvent étouffée, même si  Sacha Guitry et Jean Anouilh et d’autres ont continué à créer sous l’occupation, vrai également  car l’art parfois fut un acte de révolte. D’autre part : est-ce que l’artiste partisan ou captif d’une idéologie, captif ou engagé à fond dans une doctrine est  encore en création libre ? L’art on le sait, peut servir une cause.
Egalement,  peut-on considérer que la création artistique libère du critère de ce que nous appellerons  morale ou éthique, autrement dit, que le génie autoriserait toute liberté ? Nous avons vu il y a peu une exposition initiée par des Allemands qui exposait des cadavres statufiés, qui mettait en scène des cadavres. Et  ceux qui faisaient des abat-jour avec de la peau humaine dans les camps disaient faire des œuvres d’art. L’art, la création alors, n’auraient pas de barrière ? L’art serait-il « au-delà du bien et du mal » ? Un ouvrage, une fiction d’Eric Emmanuel Schmitt évoque cette question « Lorsque j’étais une œuvre d’art »
Il ne serait y avoir d’art que dans la  liberté, l’artiste libre dans sa tête est libre dans sa création,  l’art comme la colombe loge dans la tête de l’homme, et celui-ci, lart, reste essentiellement comme nous l’a dit Léonard de Vinci « una cosa mentale ».                      
Une grande partie de notre patrimoine culturel et artistique, c’est l’art religieux. Certains diront que la religion s’est servie de l’art pour propager la religion catholique par la beauté des images, la beauté des œuvres, exploitant ainsi l’émotion qu’il en ressort. Mais on était dans un art totalement sous le contrôle de l’Eglise, un art sacré. Cet art sacré était censé rendre les gens meilleurs, en leur montrant, soit « La vierge à l’enfant », soit « Les stations du chemin de croix », etc. Cette fonction sacrée n’existe plus. L’art s’est libéré peu à peu de ses anciens carcans ; il choisit ses propres critères moraux, éthiques, philosophiques ou politiques.
Revenant à une précédente intervention, il arrive que l’expérience esthétique nous détache tout à coup du temps, nous mettent hors du temps, un peu de transcendance en fait, avec un aspect spirituel (on peut hésiter quant à l’interprétation) ; c’est l’émotion esthétique, dont nous parlait déjà Kant, et cela a pu aller pour certaines personnes jusqu’à ressentir des altérations psychosomatiques, comme se trouver mal ; c’est ce qu’on nomme le « syndrome de Florence » ou aussi « syndrome de Stendhal ».
nfin, j’ajouterai que des pays ont beaucoup oeuvré pour que le peuple puisse accéder à l’art et se cultiver. Ce sera le cas avec les musées ouverts au public après la Révolution française. On l’a vu aussi dans les pays de l’Est au siècle dernier, que ce soit pour la peinture, la danse, l’opéra, la musique (même si certaines autres formes d’expression furent muselées).
our que l’art puisse rendre les gens meilleurs, il faut pour cela les initier, initier les plus jeunes ; c’est le rôle de l’Etat, les rôles des parents et de tous les adultes. (Luis)

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« L’œuvre d’art naît du renoncement de l’intelligence à raisonner le concret » (Albert Camus. Le mythe de Sisyphe)

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Niki de saint Phalle, est morte de son art. Elle  a travaillé à la résine, ça lui a brûlé les poumons elle morte dans d’horribles souffrances.

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« La musique, la danse, l’art, la mode, toutes ces choses ont le pouvoir former une nation de l’intérieur, de toucher les cœurs et les esprits de chacun, de les rallier à nous. Nous ne pourrons jamais envahir le monde entier, mais le monde peut se figurer que nous en sommes le centre »  (Dialogue, film  Versailles. Personnage Louis XIV. Série/1/10)

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: « Vous connaissez ma définition de l’art moderne : vous prenez une toile, vous jetez de la peinture dessus, vous étalez avec un chiffon, vous jetez la toile, vous vendez le chiffon » Réplique dans le film « Ces différences qui nous rapprochent » de Michael Carney) 

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Débat : Doit-on être initié pour jouir de l’art ?
Introduction : Une question en philo a toujours plusieurs entrées, et vous ouvrirez d’autres pistes de réflexion, mais, déjà, pouvons-nous écarter le principe qu’une œuvre d’art puisse être véritablement et pleinement appréciée par une personne qui n’aurait pas été préalablement formée, initiée, ce que nous appelons aussi, un profane? Lorsque nous voyons une œuvre, que nous entendons une musique, que nous lisons un livre… nous sommes sans doute influencés dans notre jugement, par des œuvres antérieures qu’on nous a fait connaître. De ce fait, nous ne sommes plus émotionnellement une matière brute, un réceptacle émotionnel pur. Celui qui est totalement novice, qui s’extasie devant une œuvre d’art ne nous montrerait-il pas l’art pur, cet art qui parle d’abord au cœur avant de s’adresser à la raison ? Alors l’art ne serait plus exclusivement « una cosa mentale » comme le disait Léonard de Vinci.  Une citation du philosophe allemand Théodore Adorno (de l’école de Francfort) est à l’origine de la question de ce soir : « Il n’y a pas de beau sans initiation », mais il nous dit aussi que « la culture est une industrie, une raison subjective infléchie et détournée par les classes dominantes », d’où un nécessaire recul ou prudence quant à l’initiation. Cette question pourrait être reformulée afin d’éliminer les ambiguïtés qu’on pourrait voir dans le mot « initié ». Il y avait à l’origine hésitation entre «être  initié » et « se cultiver ». Mais d’emblée nous sont posées des questions essentielles : l’art n’est-il accessible qu’à ceux  qui sont pourvus d’un certain bagage culturel ? Une éducation à l’art ne risque-t-elle pas de formater les individus ? Et puis bien sûr : la connaissance et la pleine jouissance de l’art, est-elle élitiste; (Luis)

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« L’art nous aide t-il à vivre ?
Voilà un domaine qui ne connaît pas la crise. L’art, en effet, a aujourd’hui tout d’une valeur refuge: il attire les spectateurs en foule denses lors des grandes expositions et suscite une spectaculaire explosion des pratiques amateurs. Symptôme de fuite face à une trop pesante réalité. Ce n’est sans doute pas aussi simple. Car  à suivre l’ascension de l’attention depuis deux siècles -, l’art tend à s’imposer pour les modernes comme un relais de l’idée effondrée du religieux. En témoigne le rapport initiatique dont nous font part les artistes – célèbres ou anonymes …. Et qui considèrent l’art comme un lieu privilégié d’accès à une réalité, de soi ou du monde, augmentée. Relevant moins, donc, d’une pression sociale que d’un désir d’allègement de la vie en société ». (Article Philosophie Magazine. N° 70 septembre 2013)  

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On peut être réservé quant à la finalité d’une initiation à l’art, on peut désirer rester un profane gourmant à qui, la vie de l’artiste, ou la prouesse technique importe peu, et  ne pas vouloir se laisser conditionné par une mode culturelle, et si l’art est réservé à des initiés, est-ce encore de l’art ? Mettre des mots sur des émotions pures, d’art pictural, musical, littéraire… Devant certaines toiles modernes certains trouvent « l’art de ne rien dire avec de grands discours », ce qui est montré dans le film « dialogue avec mon jardinier. Mais on ne peut nier que parfois, bien sûr, faute de références, faute de culture, une dimension et nombre d’éléments nous échappent. Les œuvres parfois sont codées comme chez Poussin, tous les symboles échappent au non initié. Nous pouvons certes apprécier  l’esthétique qui est : «  je perçois, je ressens », nous voyons ce que nous montre l’artiste, mais peut-être que  nous n’entendons-nous  pas ce que nous dit l’artiste.  (Luis)

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«  Puisque nous concevons plus facilement l’idée par le moyen de l’œuvre d’art que par la contemplation directe de la nature et de la réalité, il s’ensuit que l’artiste ne connaissant plus la réalité, mais seulement l’idée, ne reproduit dans son œuvre que l’idée pure ; il la distingue de la réalité, il néglige toutes les contingences qui pourraient l’obscurcir. L4ariste nous prêt eses yeux pour regarder le monde » (Schopenhauer. Le monde comme volonté et comme représentation)

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Symbolique en peinture :

Aiguière : Vanité de la richesse
Assiettes rondes : Symbole de la femme, de la fécondité.
Bière mousseuse : Symbole de la mer
Canne à poisson : Le danger de la mort
Chandelles : Symboles masculins
Cordes rompues : Corruption de la chair
Coupelles ébréchées : Corruption de la chair
Couteau : Symbole du mal.
Cuillère : Symbole masculin.
Crabe : Résurrection (Chrétien)
Flûte de champagne : Fragilité de la vie
Insectes : Corruption de la chair. Enfer (Chrétien)
Homard : Résurrection (Chrétien)
Huîtres : Produits aphrodisiaques.
iris : La douleur
La pomme Adam et le péché originel
Le citron : La chute de l’homme ou la nature en voie de corruption
Livres, partiellement cachés : Relations secrètes
L’œillet : L’incarnation du Christ
Le lys : La pureté
Les cerises : Le paradis
Montre : Le temps arrêté

Mouche : Corruption de la chair. Enfer (Chrétien)

Œufs cassés : symbole de la virginité perdue

Pain : Le temps qui passe, Ou le corps du Christ (Chrétien)

Papier roulé : Le secret de la vie, de la nature.

Pétales fanées : Corruption de la chair

Sucre en poudre : Le danger et la douceur

Tasses rondes : Symbole de la femme, de la fécondité

Ver : Corruption de la chair. Enfer (Chrétien)

Verre à moitié plein : Le temps qui passe

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