• Morale

    Grand Robert de la langue française : Qui concerne les meurs, les habitudes et surtout les règles de conduites admises et pratiquées dans une société.Connaissance du bien et du mal ; théorie généralement conçue sous forme normative, de l’action humaine en tant qu’elle est soumise  au devoir et a pour but, le bien Cuvillier)Ensemble des règles de conduite considérées comme valables de façon absolue. Dictionnaire Lalande : Ensemble des règles de conduite admises à une époque ou par un groupe d’hommes. « Chaque peuple a sa morale, qui est déterminée par les conditions dans lesquelles il vit. On ne peut donc lui en inculquer une autre, si élevée qu’elle soit, sans le désorganiser » (Durkheim)…

  • Relativisme

    Le Grand Robert de la Langue Française : Doctrine selon laquelle les valeurs (morales, esthétiques…) sont relatives aux circonstances (sociales, etc.) et variables. Trésor de la Langue Française : Doctrine qui admet la relativité de toute connaissance humaine. – Doctrine d’après laquelle l’idée du bien et du mal, les valeurs morales, varient selon les époques et les sociétésAspect relatif des valeurs Encyclopédie de la philosophie. Pochothèque. Terme par lequel on peut désigner toute conception philosophique qui n’admet pas de vérités absolues ou de principes immuables en morale. Synonymes : Indifférence. Contraires : Par analogie : A chacun sa vérité. Bien.Circonstance. Equivalence. Ethique. Indifférence. Jugement. Mal. Morale. Opinion. Opposition. Norme. Valeurs. * « Les oppositions systématiques et…

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  • Raison

    Le Grand Robert de la Langue Française : Capacité de jugement par laquelle l’homme est capable d’organiser, de systématiser sa connaissance et sa conduite, d’établir des rapports vrais avec le monde. Dans certaines théories, système de principes qui dirigent l’activité de l’esprit et forment une règle, un modèle idéal de connaissance et d’action. La faculté pensante et son fonctionnement chez l’homme, ce qui permet à l’homme de connaître, juger et agir, conformément à des principes (considérés plus ou moins comme stables) mais sa préjuger la valeur ce cette connaissance ou de cette action.La faculté de penser, considéré d’un point de vue général et abstrait en tant qu’elle permet à l’homme « de…

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  • Conscience

    Le Grand Robert de la langue française : Faculté que l’homme a de connaître sa propre réalité et de la juger. La partie de la vie, de l’activité psychique dont le sujet a une connaissance intuitive. Connaissance intuitive par l’être humain ce qui est le bien, de ce qui est le mal et qui les poussent à porter des jugements de valeur morale sur ses propres actes. Encyclopédie de la philosophie, Pochothèque : Etre conscient, cela revient en effet à agir, sentir, penser et savoir qu’on agit, qu’on sent ou qu’on pense. On appelle donc conscience la connaissance intuitive, le sentiment (plus ou moins clair)  qu’un sujet possède de lui-même. Ainsi en…

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